Comment faire une voiture temporaire ?

Plan de l'article
- en-tête temporaire : ce que vous devez savoir
- Résumer les règles en un mot :
- Ce que dit le Code de la route
- Genèse du retard d’une loi « style anglais »
- Champ d’application de l’art. 94, paragraphe 4 bis, C.D.S.
- Entrée en vigueur de la loi
- Champ d’application objectif de l’art. 94, paragraphe 4 bis, C.d.s.
- Changement des généralités de la personne physique inscrite
- Position temporaire des véhicules à moteur, des véhicules à moteur et des remorques
- Pénalités
en-tête temporaire : ce que vous devez savoir
Cet article s’adresse à l’automobiliste intéressé à approfondir le sujet de l’en-tête de véhicule temporaire… d’une manière simple et claire.
Une prémisse : le changement concerne une multiplicité de cas d’en-tête temporaires mais, dans ce blog, nous ne traitons que des situations qui affectent le plus commun automobiliste ; nous laissons à d’autres la tâche d’approfondir les aspects dans le domaine professionnel, typiquement celui de la location à long terme, syndic,… Pour ceux qui veulent explorer le sujet sur le cap tenporan des véhicules et sur le sujet de la variation du nom ou des généralités du propriétaire, il est disponible au bas du présent article également des références et des textes complets des normes.
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Résumer les règles en un mot :
À
partir de 3 Novembre 2014, pour certains actes conclus à partir de cette date avant (par exemple le confort, la location sans chauffeur, le loyer à acheter, confiance), l’obligation de communiquer à la DMV (dans le jargon correct, à la TNT c’est à dire ministère des Transports, de la Navigation et de l’Information et les systèmes statistiques) les données des sujets autres que les détenteurs du trafic qui ont la disponibilité d’un véhicule pour des périodes de plus de 30 jours, afin de mettre à jour les Archives nationales des véhicules ; pour les actes conclus avant le 3 novembre 2014 il n’y a pas #8217 ; obligation mais la faculté si stipulée à partir du 7 décembre 2012, donc absolument rien ne change pour ces.
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Du point de vue des médias, il y a eu beaucoup, trop et peut-être inutilement parlé de l’en-tête de véhicule temporaire ; la portée de la mesure, comme nous le verrons plus tard, implique presque exclusivement des professionnels (principalement des entreprises qui effectuent des activités de location de véhicules sans conducteurs) et seulement d’une manière minimale et résiduelle l’automobiliste commun, comme le père qui prête sa voiture au fils ou un autre membre de la famille. Dans ces cas, comme il s’agit presque toujours d’un acte de courtoisie ou de faveur, qui ne peut être considéré comme confortable (qui est un contrat), la règle en question ne s’applique pas. Je peux rassurer tous ces pères et mères qui, à juste titre, ont vu la clameur suscitée, craignent que certains membres de leur famille soient arrêtés et condamnés à une amende de 705 euros.
Ce que dit le Code de la route
Art. 94 du Code de la route, intitulé « Formalités pour le transfert de propriété des véhicules à moteur, des véhicules à moteur et des remorques et pour le transfert de résidence du propriétaire », à le paragraphe 4-bis indique : « Sans préjudice des dispositions de l’article 93, paragraphe 2, les actes, même si autres que ceux visés au paragraphe 1 du présent article, à partir desquels une modification du titulaire de la carte de circulation ou impliquant la disponibilité du véhicule, pour une période de plus de 30 jours, en faveur d’une personne autre que le propriétaire lui-même, dans les cas prévus par le règlement, est déclarée par la partie en question, dans un délai de trente jours, au Département des transports, de la navigation et de l’information et des systèmes statistiques aux fins de l’annotation sur la circulation papier et de l’enregistrement dans les archives visées à l’article 225, paragraphe 1, point b), et à l’article 226, paragraphe 5. En cas d’omission, la sanction prévue au paragraphe 3 s’applique.
‘
papier de circulation d’une voiture de tourisme
Genèse du retard d’une loi « style anglais »
Le paragraphe susmentionné, concernant l’en-tête temporaire, a été introduit à nouveau en 2010, par la loi 29 Juillet 2010 no. 120, à l’art. 12 paragraphe 1, mais en l’absence d’une disposition d’exécution est resté dans le tiroir, non appliqué jusqu’à, avec le D.P.R. 28 Septembre 2012, n. 198, a été introduit l’art. 247-bis du D.P.R. 495/1992, qui est autre que le Règlement d’exécution du Code de la route, en vigueur à partir du 07 décembre 2012.
Résumant :
- la loi est adoptée en juillet 2010 concernant la position temporaire des véhicules, reste inapplicable depuis plus de 2 ans jusqu’en décembre 2012
- à partir de décembre 2012, il reste inappliqué à nouveau jusqu’au 3 novembre 2014 parce que… les procédures étaient toujours manquantes Informatique indispensable à l’exécution des procédures administratives de mise à jour des Archives nationales des véhicules et des documents de circulation, comme indiqué à l’art. 94, paragraphe 4 bis, des C.d.s.
c’ est – à – dire quatre ans pour rendre une loi opérationnelle. Les locaux ne sont donc pas les meilleurs…
Champ d’application de l’art. 94, paragraphe 4 bis, C.D.S.
À l’heure actuelle, les véhicules affectés par l’en-tête temporaire sont :
- véhicules automobiles (voitures, camions, autobus, véhicules à usage spécial, véhicules à moteur, transports spécifiques,…)
- véhicules automobiles (motos, motos à 3 et 4 roues, voitures,…)
- m.c.p.c. remorques excédant 3 500 kg
Pour ces catégories de véhicules, la loi ne s’applique pas aux sujets titulaires :
- inscrits au Registre des transporteurs ou au REN (compte de transport tiers)
- licence pour le transport propre
- avec l’autorisation de transporter des personnes par autobus dans leur propre usage
- avec l’autorisation de transporter des personnes par des voitures particulières (taxi et location avec chauffeur).
Par conséquent, en premier lieu, il semblerait que l’automobiliste commun soit soumis à cette norme ; nous verrons plus tard la raison de l’exclusion dans la plupart des cas.
Entrée en vigueur de la loi
La loi sur les en-têtes temporaires est entrée en vigueur le 3 novembre 2014, mais doit s’écouler au moins 30 jours à compter de l’entrée en vigueur, correspondant à la période d’enregistrement de l’acte à la TNT, toute sanction à partir du 4 décembre 2014 uniquement.
Champ d’application objectif de l’art. 94, paragraphe 4 bis, C.d.s.
En ce qui concerne le champ d’application de l’art. 94, paragraphe 4 bis, du décret législatif italien susmentionné, la disposition sur l’en-tête temporaire s’applique actuellement exclusivement dans les cas suivants :
- changement dans le nom de l’entité enregistrée (liée aux entreprises, donc je ne vais pas traiter avec elle ci-dessous)
- variation des généralités de la personne physique inscrite
- personne qui a la disponibilité temporaire, pour une période de plus de 30 jours, d’un véhicule immatriculé auprès d’un tiers, comme confortable
- sujet qui a une disponibilité temporaire, pour une période supérieure à 30 jours, d’un véhicule immatriculé auprès d’un tiers, en vertu d’une ordonnance de garde en détention judiciaire (concernant les gardiens du tribunal, donc je ne vais pas le traiter ci-dessous)
- personne qui a la disponibilité temporaire, pour une période de plus de 30 jours, d’un véhicule immatriculé auprès d’un tiers en vertu d’un contrat de location sans conducteur (lié à la location, que je ne traiterai pas)
- en-tête de véhicule au nom d’une entité juridiquement inapte (moins de 18 ans, interdicts judiciaires et légaux).
Voyons les différents cas d’en-tête temporaire ensemble.
Changement des généralités de la personne physique inscrite
Par la généralité d’une personne physique, la disposition désigne :
- nom
- nom de famille
- date de naissance
- lieu de naissance
- lieu de résidence
Les cas possibles qui conduisent à changer les généralités d’une personne peuvent être :
- corrections du prénom, du nom, du lieu et de la date de naissance à la suite de mesures prises par l’autorité judiciaire ou les bureaux d’état civil municipaux
- variations toponomastiques destinées à modifier le nom de la municipalité, la province de naissance ou de résidence, le nom de la rue, le numéro civique de la résidence.
Dans ces cas, en ne mutant pas la propriété de fait du véhicule (c’est toujours la même personne, seulement qu’il a changé certaines « données » de son identité), on procède à l’application d’une « coupe auto-adhésive de recyclage » du papier de circulation (c.-à-d. du « livret »), qui montre les nouvelles généralités du propriétaire ; dans la coupe est indiquée la mention « Changement des généralités du propriétaire effectué conformément à l’art. 94, paragraphe 4 bis, C.D. »s »
Combien coûte la procédure ?
En l’exécutant de sa propre initiative, c’est-à-dire sans s’appliquer aux sociétés de conseil automobile (les « agences de pratique automobile ») :
- 16,00 € de droits de timbre 9,00€ de droits de motorisation, pour un total de 25,00€
- 0 € en cas de changement de toponomastique (c’est-à-dire dans les cas où c’est une administration publique qui modifie les données)
Position temporaire des véhicules à moteur, des véhicules à moteur et des remorques
Il s’agit de la cas peut-être plus intéressant et qui a créé un alarmisme injustifié.
En cas de disponibilité temporaire d’un véhicule par une personne autre que le propriétaire (c’est-à-dire autre que la personne mentionnée sur la carte de circulation), une période de plus de 30 jours est prévue pour les obligations de communication visant à mettre à jour les Archives nationales des véhicules et la carte de circulation, c’est-à-dire qu’il est nécessaire d’informer la TNT (pour comprendre la DMV) de cette condition en obtenant, à la suite de la communication, une découpe auto-adhésive à coller sur le « livret » attestant l’en-tête temporaire.
Les cas prévus par le Ministère de l’infrastructure et des transports, dans le cas d’un coautomobiliste, de tête temporaire sont essentiellement les suivants :
- le pratique à utiliser
- véhicule immatriculé au nom d’une personne décédée (de cuius).
Dans ces situations, afin de mieux comprendre le contenu des circulaires ministérielles à la fin du mois d’octobre, nous parlons de sujets qui causent et causent.
Sans descendre, il suffit pour notre lecteur de savoir ceci :
- Dante cause est le propriétaire du véhicule, l’acheteur dans le cas d’achat avec engagement de domaine confidentiel (P.R.D., paiement de cas typique en versements du véhicule), le propriétaire nu,…, qui est, en bref est qui « donne » le véhicule
- la cause est celle qui utilise le véhicule, par exemple la personne confortable, les héritiers dans le cas d’une personne décédée.
Nous révélons immédiatement à l’automobiliste qui nous suit un tabou que la circulaire prot. 300/A/7812/14/106/16 du 31 octobre 2014, sans l’indiquer d’une manière spécifique ; cependant, elle est déduite en lisant l’un des derniers paragraphes : « il est souligné, à cet égard, qu’aucune règle n’empêche l’utilisation d’un véhicule par courtoisie ou grâce par une personne autre que le porteur de la circulation carte.
‘ Qu’ est-ce que ça veut dire ?
Rappelons tout de suite que l’éventuel fonctionnaire bureaucratique est à la hauteur de la cause et non au propriétaire du véhicule qui en est la cause ; nous appellerons la cause générique « automobiliste », mais peut-être aussi un grand motard.
Cher automobiliste, si vous recevez par courtoisie ou faveur (c’est-à-dire, pour le profit, avec un accord verbal, sans contrat ou confortable) un véhicule de quelqu’un (la femme, parents, enfants cohabitant mais aussi enfants non cohabités, un parent, un ami,…), rien n’est requis, est un acte libre reçu et, en tant que tel, n’est lié par aucun magasin juridique ou contrat, aucune communication à la TNT n’est due. À la fin de la journée, le propriétaire du véhicule, si ceux qui conduisent combinent quelque chose, est toujours civilement responsable des actions effectuées avec le véhicule, ce qui explique pourquoi vous payez une assurance r.c..
Si ce n’est pas le cas que vous cherchiez, lisez la suite, je parlerai du confort.
Confortable à utiliser
Commodément défini le contrat par lequel un sujet (le confort, c’est-à-dire la cause) livre à une autre personne (l’invité, c’est-à-dire le sujet) une chose mobile ou une propriété pour l’utiliser pendant une durée déterminée avec l’obligation, à la fin de la période, de retourner la même chose ; le « confortable est essentiellement gratuit » car, s’il y avait un paiement en espèces, il s’agirait d’un autre type de contrat, c’est-à-dire un bail. Le confort peut être sous forme écrite ou orale, ce qui signifie que s’il est oral, il n’y a pas de documentation prouvant le contrat.
Qu’ est-ce que ça veut dire ?
Cher automobiliste, si vous avez conclu un contrat de confort oralement avec une autre personne, et cet accord remonte à une période antérieure au 3 novembre 2014, rien n’est requis, car l’acte a eu lieu avant l’entrée en vigueur de la règle.
Le ministère des Infrastructures et des Transports, avec la circulaire prot. 15513 du 10 juillet 2014, indique également que « ils sont exemptés de cette obligation (la mise à jour de la8217 ; ANV et papier de circulation, ed) les composants de la famille, à condition qu’ils cohabitent. Rien n’obdéclare, cependant, que également dans ce cas peut être demandé de mettre à jour la carte de circulation ; en l’absence d’une interdiction spécifique, en fait, il est à considérer que le client a le droit, sans préjudice, en cas contraire, de l’inapplicabilité des sanctions envisagées. »
Le ministère de l’Intérieur, avec la circulaire prot. 300/A/7812/14/106/16 du 31 octobre 2014, précise que « l’attention est attirée sur les dispositions concernant le confort, dans le but de circonscrire le champ d’appplication aux cas expressément mentionnés par la circulaires susmentionnées (celles du 10 juillet et du 27 octobre, éd.) L’obligation de noter, dans le cas du confort, n’est imposée que lorsque cet acte, écrit ou oral, prévoit l’utilisation du véhicule par le véhicule de manière exclusive et personnelle et la prolongation pour une période de plus de 30 jours.
‘ Qu’ est-ce que signifie ?
Cher automobiliste, si le véhicule est utilisé par un membre de la famille (c.-à-d. fils, mère, père, grand-parent, petite-fille,… qui vit à la même adresse et qui est en certificat de situation familiale), rien n’est requis.
Si vous êtes en présence d’un membre de la famille qui ne cohabite pas ou d’un autre sujet (connaissance, ami,…), cher automobiliste, vous devez poser 3 questions simples :
- Le véhicule est-il utilisé exclusivement par le véhicule, c’est-à-dire qu’il l’utilise uniquement et exclusivement ?
- est utilisé de manière personnelle, c’est-à-dire n’est-il pas prêté entre-temps à quelqu’un d’autre alors qu’il est le confortable ?
- est utilisé par l’invité de manière continue, c’est-à-dire qu’aucune autre personne ne l’utilise lorsque le client ne utiliser ?
Il suffit qu’une seule réponse soit NON parce qu’elle n’est pas confortable et, par conséquent, cher automobiliste, rien n’est nécessaire.
Si les réponses sont toutes OUI, alors nous sommes en présence d’un réel confortable ; dans ce cas, les hypothèses possibles sont différentes :
- s’ il est prêté comme confortable, pour une période continue de moins de 30 jours, avec contrat écrit ou oral, rien n’est requis
- s’ il est prêté à titre confortable, pour une période continue supérieure à 30 jours, dans le cadre d’un contrat écrit ou oral antérieur au 3 novembre 2014, rien n’est exigé
- s’ il est prêté à titre de personne confortable (à l’exclusion du titre de courtoisie ou de la faveur), pour une période continue supérieure à 30 jours, par contrat oral/écrit après le 3 novembre 2014, la mise à jour doit être effectuée.
En cas de mise à niveau une coupe auto-adhésive est émise dans laquelle les généralités de l’invité sont notées, l’expiration de l’confortable, contenant la mention « Confortable — en-tête temporaire effectuée conformément à l’art. 94, paragraphe 4-bis, C.d.s. ».
À la fin de l’confortable, c’est-à-dire, lorsque le véhicule tombe dans la pleine disponibilité du propriétaire (par exemple le propriétaire), le véhicule peut obtenir l’annulation de l’annotation de confortable, c’est-à-dire la restauration complète du statu quo ante en exigeant le duplicata de la papier de circulation ; à la fin de l’confortable, en cas de transfert à une autre personne par un autre contrat de confortable, le nouvel invité est tenu de demander l’émission d’une nouvelle coupe de mise à niveau, avec les mêmes modes.
Comment pouvons-nous voir de cette discussion le cas de nécessité réelle, dans le cas de l’automobiliste municipal, de mettre à jour les Archives nationales des véhicules et la charte de circulation à la suite d’un contrat de confort est circonscrit, ce qui signifie qu’en réalité les nouvelles médias donnée au début de novembre était excessive et trompeuse.
Utilisation du véhicule immatriculé al de cuius
Dans le cas d’un véhicule immatriculé auprès d’une personne décédée, en attendant que la procédure de succession soit conclue avec la définition des héritiers, le véhicule peut être utilisé par une personne pendant plus de 30 jours. Dans ce cas, à la suite d’un cas documenté, il est prévu pour la publication d’une coupure de mise à jour dans laquelle les généralités de l’héritier utilisant le véhicule sont notées, indiquant le libellé « en-tête décédé — en-tête temporaire dans le nom de l’héritier effectué conformément à l’art. 94, paragraphe 4 bis, C.D.S. en attendant la définition de la procédure de succession » ; l’utilisation ne signifie pas l’acceptation tacite de l’héritage du cuius.
En-tête des véhicules appartenant à des sujets incapables d’agir
Pour le Code civil, on entend par « personnes incapables d’agir de moins de 18 ans », « interdicts judiciaires » (à la suite du jugement du tribunal) et « personnes morales » (à titre de peine accessoire à la suite de la condamnation du tribunal pénal pour certaines infractions) ; par conséquent, la le défaut absolu d’agir et, par conséquent, la nécessité d’accomplir des actes par une autre personne ayant des pouvoirs de représentation, comme le parent, le tuteur désigné par le juge de tutelle,… Il s’ensuit que sur la carte de circulation des véhicules au nom de personnes incapables d’agir, les généralités du sujet sont également notées représentant (parent, tuteur,…), avec l’apposition de la découpe de mise à jour contenant les mots « Véhicule immatriculé au nom d’un sujet soumis à protection, dans la disponibilité de… ; » suivie des généralités du parent ou du tuteur, en tant que personne responsable du mouvement du véhicule, ainsi que les détails de la mesure adoptée par le tribunal de tutelle et la mention « Annotation effectuée conformément à l’article 94, paragraphe 4 bis, du décret législatif italien ».
Le sujet, à la fin de l’âge de la majorité (l’exécution d’un document d’indétification ou de reconnaissance est suffisante), ou en cas de résiliation du statut d’interdiction (une déclaration de certification de remplacement suffit, pour supprimer l’annotation relative à la parent ou tuteur, le propriétaire peut (pas une obligation) demander la délivrance du duplicata de la carte de circulation.
Autres cas
Par souci de simplicité, d’autres cas normalisés ont été omis, tels que le changement du nom ou du nom des personnes morales, la commodité des véhicules de l’entreprise, la garde du tribunal, la location sans conducteur (LSC), le loyer à acheter, la fiducie,… qui ne sont pas des motifs d’intérêt pour le automobiliste normal.
Pénalités
La sanction administrative prévue en cas de violation de l’art. 94, paragraphe 4 bis (en-tête temporaire), du C.D.S. est de 712 euros et la sanction accessoire de retrait de la carte de circulation pour mise à jour. La peine s’applique, comme indiqué à l’article, en cas d’omission, à la personne en cas de cause, c’est-à-dire à l’utilisateur du véhicule, dans le cas d’actes à partir du 3 novembre 2014, à l’exception de ceux qui sont perfectionnés dans le priorité. Aucune infraction n’est contestable pour le conducteur en cas de défaut de documentation attestant la communication à bord. Obligé en force continue d’être le propriétaire du véhicule ou l’un des sujets visés à l’art. 196 du décret législatif italien.
J’ espère que j’ai été clair et simple dans le langage… comme toujours !
Références réglementaires relatives à la position temporaire des véhicules et au changement de nom ou de généralités du propriétaire :
Ministère de l’Infrastructure et des Transports prot. 15513 du 10 juillet 2014 Ministère des Infrastructures et des Transports prot. 23743 du 27 octobre 2014 Circulaire du Ministère de l’Intérieur prot. 300/A/7812/14/106/16 du 31 octobre 2014
Lien d’intérêt : Direction générale de la TNT Territoire du Nord-Ouest